LasĂ©curitĂ© pour tous, c’est l’affaire de chacun ! Parce que votre Manutention Peut Vous CoĂ»ter Cher, Toyota et l’Agence EuropĂ©enne pour la SĂ©curitĂ© et la SantĂ© au Travail (EU-OSHA) sont partenaires pour la « Campagne EuropĂ©enne pour des travaux de maintenance plus sĂ»rs ». Bien que les statistiques ne disent pas tout, elles Jusquaux plus hauts sommets de l’État, la mobilisation citoyenne est donc mise en avant, confortant l’idĂ©e que la sĂ©curitĂ© est l’affaire de toutes et tous, y compris de la population. Suite Ă  une attaque Ă  la prĂ©fecture de police de Paris en octobre 2019, le prĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron assume en ce sens : « Une sociĂ©tĂ© de Malestroit La sĂ©curitĂ©, c’est l’affaire de tous. A Malestroit (Morbihan), en ce dĂ©but de saison estivale 2022, gendarmerie et police cash. "La sĂ©curitĂ© n'est pas une compĂ©tence de la RĂ©gion, mais la rĂ©gion peut co-produire de la sĂ©curitĂ©", estime ce lundi matin Cyril Hemardinquer, tĂȘter de liste du Rassemblement National dans le Loiret aux Ă©lections rĂ©gionales et par ailleurs candidat aux Ă©lections dĂ©partementales sur le canton de Courtenay. Le syndicaliste policier, en poste dans les Yvelines, en fait son axe de campagne. Il Ă©tait l'invitĂ© de France Bleu OrlĂ©ans. Les Ă©lections dĂ©partementales tout d'abord zĂ©ro Ă©lu pour le Rassemblement National en 2015. Vous pensez rĂ©ussir Ă  faire mieux cette fois ci? En tout cas, je l'espĂšre. J'ai grand espoir de faire mieux. Le climat politique nous est quand mĂȘme assez favorable. Il faut savoir qu'on avait des cantons qui avaient dĂ©passĂ© la barre des 40% en 2015. J'espĂšre qu'avec l'Ă©volution politique actuelle, la dictature d'En Marche, le "ni gauche ni droite" de nos partis centristes et l'ensemble de l'Ă©chiquier politique, nous devrions arriver Ă  rĂ©veiller les Français et Ă  les amener Ă  rĂ©aliser que le Rassemblement National est la meilleure option pour eux, sur tous les scrutins. Une dictature d'En Marche qui vous permet tout de mĂȘme d'ĂȘtre candidat Ă  ces Ă©lections. Vous ĂȘtes d'ailleurs candidat sur le canton de Courtenay, l'un des cantons oĂč le Rassemblement National a fait le plus gros score en 2015. Vous vous dites, "je ne prends pas de risque" ? Non du tout. DĂ©jĂ , rien n'est acquis en politique. On ne peut pas aller sur un canton et se dire qu'on ne prend pas de risque. Prendre Courtenay, mĂȘme pour moi est un gros risque puisque c'est le canton qui avait fait le meilleur rĂ©sultat la derniĂšre fois, et si je ne le fais pas basculer ce coup-ci, ce sera un Ă©chec qu'il faudra que j'assume personnellement. Cela veut dire quoi ? Si vous n'ĂȘtes pas Ă©lu Courtenay, vous quittez la tĂȘte du Rassemblement National dans le Loiret ? Non, absolument pas. Le Loiret ne se rĂ©sume pas au canton de Courtenay. C'est juste que j'ai un engagement vis-Ă -vis de mes militants. J'ai un engagement vis-Ă -vis de mes sympatisants et de tous les Français qui votent Rassemblement National et donc je dois atteindre mes objectifs. Pour moi, l'Ă©chec n'est pas d'une option. Si jamais j'ai, j'Ă©tais en Ă©chec, bien Ă©videmment, il faudra rebondir pour continuer Ă  aller de l'avant avant. Nous avons l'Ă©lection prĂ©sidentielle en 2022, c'est quand mĂȘme une Ă©tape dĂ©cisive pour le pays et nous oeuvrerons en ce sens par la suite. Le Rassemblement national a du mal Ă  fidĂ©liser dans le Loiret. Sur les 42 candidats prĂ©sentĂ©s pour les dĂ©partementales, seuls quatre Ă©taient dĂ©jĂ  prĂ©sents en 2015. Ça vient d'oĂč ? C'est un problĂšme d'image, de rĂ©ussir Ă  tenir dans le temps? Non, du tout, c'est un problĂšme de turn-over des personnes. Dans un de vos articles, lĂ , il Ă©tait Ă©crit que j'avais rĂ©ussi Ă  boucler tous les cantons, non sans mal. C'est tout Ă  fait faux. Il faut savoir que j'avais un grand panel de candidats. Nous avons pu les choisir. Nous avons pu faire face aux Ă©ventuelles dĂ©fections de derniĂšre minute. Nous avons dĂ©posĂ© la liste de nos 21 cantons le premier jour oĂč c'Ă©tait possible Ă  la prĂ©fecture, je n'ai eu aucun mal Ă  trouver des candidats. C'est vrai que le dernier article qui a Ă©tĂ© fait par France Bleu indique que j'ai des couples chez moi. Je ne savais pas que c'Ă©tait interdit en politique d'avoir les deux qui s'engagent en politique. C'est une nouveautĂ©. Vous savez, quand on s'engage en politique, trĂšs souvent, c'est trĂšs chronophage, et si la famille ne suit pas ou n'adhĂšre pas au projet, c'est trĂšs compliquĂ©. Ce qui explique pourquoi nous avons tant de couples reprĂ©sentĂ©s. Vous ĂȘtes donc tĂȘte de liste pour les Ă©lections rĂ©gionales dans le Loiret. Un policier en tĂȘte de liste, ça annonce la couleur la sĂ©curitĂ©, pincipal axe de campagne du Rassemblement National ? Tout Ă  fait. La sĂ©curitĂ©, c'est un problĂšme essentiel en France aujourd'hui. La sĂ©curitĂ©, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des rĂ©gions. Les RĂ©gions n'ont pas vraiment la main sur la sĂ©curitĂ©. Ce n'est pas la RĂ©gion qui dĂ©cide du nombre de policiers municipaux ou de policiers nationaux dans nos rues. La sĂ©curitĂ© n'est pas une compĂ©tence de la RĂ©gion, mais la rĂ©gion peut co-produire de la sĂ©curitĂ© comme cela s'est dĂ©jĂ  vu notamment en rĂ©gion Île-de-France, par exemple. La RĂ©gion, peut subventionner ou du moins cofinancer et aider les mairies Ă  obtenir des budgets plus consĂ©quents pour recruter des policiers municipaux. La rĂ©gion a certains leviers pour pouvoir amener plus de sĂ©curitĂ©, notamment dans les transports. Elle peut ĂȘtre un acteur vraiment trĂšs important et nous avons plusieurs expĂ©rimentations en termes de sĂ©curitĂ© que nous souhaiterions mettre en place dans la rĂ©gion Centre-Val de Loire. Vous ĂȘtes donc policier dans les Yvelines, Ă©lu au conseil municipal Ă  Maintenon, en Eure et Loir, candidat aux dĂ©partementales dans le Loiret, tĂȘte de liste aux rĂ©gionales pour le Loiret. Ce dĂ©partement, c'est une Ă©tape parmi d'autres ? Non, le Loiret, c'est ma nouvelle destination. Initialement, j'aurais dĂ» m'installer dans le Loiret cette annĂ©e, Ă  cause de la Covid, tout a pris un petit peu de retard. Je suis aussi contraint par la profession de mon Ă©pouse, donc, pour l'instant, je suis toujours physiquement sur Maintenon. J'ai assumĂ© mon mandat de conseiller municipal qui est un mandat totalement bĂ©nĂ©vole, oĂč je siĂšge dans huit commissions qui ne me rapportent absolument rien, je fais ça vraiment parce que je me suis engagĂ© auprĂšs des gens qui m'ont Ă©lu. Quand je serai sur le Loiret et que je passerai la main Ă  ma seconde de liste, elle continuera l'engagement du Rassemblement National sur place. Politique Edouard Philippe "la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous" © POOL/AFP/GONZALO FUENTES AprĂšs la tour Eiffel mercredi, le Premier ministre Édouard Philippe s'est rendu Ă  la gare du Nord Ă  Paris vendredi pour rassurer les Français deux jours aprĂšs que la loi antiterroriste a remplacĂ© l'Ă©tat d'urgence et rappeler que "la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous". "Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste Ă©levĂ©", a dĂ©clarĂ© Édouard Philippe entourĂ©, du ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelĂ© aprĂšs avoir rencontrĂ© les policiers, gendarmes, agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la RATP. "Les dĂ©fis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opĂ©rateurs sont extrĂȘmement mobilisĂ©s pour mettre des moyens humains supplĂ©mentaires, vĂ©rifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des rĂ©ponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit. "Et puis au-delĂ  des moyens humains et juridiques, et au delĂ  mĂȘme des moyens matĂ©riels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront rĂ©pondre au dĂ©fi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assurĂ© le Premier ministre. Mercredi, lors d'un dĂ©placement Ă  la tour Eiffel, le Premier ministre avait dĂ©jĂ  appelĂ© Ă  la "vigilance de l'ensemble de la sociĂ©tĂ©" pour une rĂ©ponse "efficace" Ă  la menace terroriste. La veille, le ministre de l'IntĂ©rieur s'Ă©tait rendu Ă  la gare Saint Lazare pour rencontrer les patrouilles de sĂ©curitĂ©. Selon la prĂ©fecture de police de Paris, 15 millions de voyages quotidiens sont effectuĂ©s sur le rĂ©seau de transports d'Ile-de-France dont sur la gare du Nord. Il y a eu interpellations sur l'ensemble des rĂ©seaux depuis janvier 2017. Sur les neuf premiers mois de 2017, plaintes ont Ă©tĂ© reçues au poste de police de la gare du Nord et interpellations ont eu lieu. 03/11/2017 111019 - Paris AFP - © 2017 AFP Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Edouard Philippe "la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous" PubliĂ© le 09/10/2009 Ă  0350 Les journĂ©es de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure se dĂ©rouleront Ă  Albi demain samedi 10 octobre. De nombreuses animations seront proposĂ©es au public, de 9h30 Ă  17 heures, sur la place du Vigan et sur les allĂ©es du Jardin national. Cette annĂ©e, le thĂšme de cette manifestation - qu'inaugurera la prĂ©fĂšte du Tarn Marcelle Pierrot Ă  10h30 - est la sĂ©curitĂ©, une responsabilitĂ© partagĂ©e». Cette journĂ©e sera l'occasion de prĂ©senter au public les missions, les mĂ©tiers et les moyens du ministĂšre de l'IntĂ©rieur, de l'Outre-Mer et des CollectivitĂ©s territoriales, dans le domaine de la sĂ©curitĂ©. Les partenaires de la sĂ©curitĂ© civile seront Ă©galement associĂ©s Ă  la manifestation. Pour illustrer l'unitĂ© et la complĂ©mentaritĂ© des actions menĂ©es par les services intervenant dans le domaine de la sĂ©curitĂ© publique et civile, des animations et des ateliers seront proposĂ©s par les services de police, de gendarmerie et les diffĂ©rents acteurs de la sĂ©curitĂ© civile dans le dĂ©partement SDIS, associations de secourisme. Nous dĂ©taillons le programme ci-dessous.

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